Tác giả : Rufus Wainwright
Người đăng : administrator, 13 năm trước
Puisqu'on ne peut fléchir ces jalouses gardiennes,
Ah! laissezmoi
Conter mes peines
Et mon émoi.
Vainement, ma bienaimée!
On croit me désespérer;
Près de ta porte fermée
Je veux encore demeurer.
Les soleils pourront s'étendre.
Les nuits remplacer les jours.
Sans t'accuser et sans me plaindre
Là, je resterai toujours.